Non les France ce n'est pas la transe à outrance et encore moins quand il s'agit des masters qui assagis mais pas assis agitent drapeaux et montrent les couleurs (qui n'épargnent pas quelques douleurs) .

Alors on parle de la trentaine pour la représentation numérique même si on ira bien jusqu'à la septantaine ( il y a des masters 85 célèbres comme Husson au marteau , presque le son du canon, qu'on ne traine pas comme un boulet avec de drôles de poulets). 

Albi c'est la joie des retrouvailles (vaille que vaille et malgré la taille) pas une croisade même si la bannière flotte bien au vent et imaginez qu'ils ont pris les devant et s'acharnent dans des entrainements costauds pour aborder cette nouvelle échéance au sommet. 

Il y en aura pour tous les gouts ou presque durant deux jours tout ce que le pays compte de forces encore vives même si déjà un peu sur le déclin ils seront enclin à donner encore le maximum sans réfréner cette joie communicative à travers des encouragements nourris et puis même aura t on droit sans doute à quelques cris pas honnis des lanceurs dans un effort suprême et une finale exultante. 

Ah le bis que certains vont réserver dans le concert d'applaudissement , sûr qu'il est bien mérité, hérité de longue tradition, pour une constance dans la passion est l'expression achevée d'un bonheur dans le partage et la réalisation. 

Gloire aux ex vétérans qui sont sortis du rang et vive les masters qui sont de vrais chefs pour concocter à travers un régime ad hoc les conditions d'une forme maintenue , la possibilité de conserver un certain niveau que bien peu peuvent encore atteindre.

A teindre en orange si possible pour que la team sublime se transcende.